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Isusko VIVAS ZIARRUSTA
“Le lieu est un espace auquel l’on assigne une signification”.
Carter & Donald (1993)
“La percepción del paisaje es una percepción de un territorio imaginario del pasado”.
Beatriz Santamarina
Bayonne nous laisse voir la synthèse de la génération des cités historiques: un bourg du moyen âge sur une butte d’origine romaine pareille à Pampelune au Pays Basque, mais qui a postérieurement évolué jusqu’à une ville proto - bourgeoise et commerciale à côté du fleuve dans l’estuaire de la rivière.1 Avec un grand retard pareil à Pampelune, la cession de la part de l’armée de l’enceinte fortifié et des camps retranchés du sud et de l’est fut complétée. Autrefois les remparts ont représenté la transition fixée de l’espace urbain, le terrain de l’extérieur et les fronts de l’eau même l’impossibilité de transcender ces limites établies plus fortement aux cités de grande importance historique (Bayonne ou Pampelune par exemple) qu’aux villes plus nettement de tradition ‘moderne’ comme Bilbao ou Saint-Sébastien, où la transition des différents espaces urbains cherche des points significatifs et symboliques pour la culture et l’expression civique et religieuse de la communauté.
À notre latitude, la conscience du paysage que nous avons premièrement décrite en ces termes va unie au propre héritage urbain, qui est un élan civilisateur et collectif. Si l’on parle de Bayonne, c’est un des lieux où nous retrouvons des éléments esthétiquement et émotionnellement liés au paysage historique: la proximité de la mer, le fleuve ou les rivières des marées, le territoire utile pour l’urbanisation, une zone de marais mais stratégique et bonne pour être cultivée et des routes de communication pour le transport et l’établissement de la cité. Il parait ainsi logique de supposer que la possibilité de traverser les deux rivières à un même point a pu expliquer l’emplacement de la ville. Tout ce qui récupère la mémoire d’un paysage toujours fluvial, rempli d’éléments fonctionnels mais aujourd’hui esthétiques qui font partie de la scène urbaine symbolique sur les fronts d’eau.
La partie la plus ancienne de la cité qu’occupe un haut terrain libéré des inondations, fut ensuite agrandie à cause des requêtes du commerce et de l’accroissement de la population. En effet, à la confluence de la Nive et de l’Adour, Bayonne jouait un rôle commercial associé à l’activité portuaire et maritime appuyée sur la communication fluviale et terrestre comme Bilbao, en plus d’une autre fonction militaire frontalière qui a fait d’elle une place forte (pareille à Saint-Sébastien). Des nouveaux quartiers furent ainsi construits au bord de la Nive, par exemple le Nouveau Bourg (le Petit Bayonne) du XIIe siècle. Les maisons furent établies au bord juste du canal avec quelques accès en petit bateau, ce qui nous donne un aperçu de l’esthétique du paysage urbain au moyen âge. Mais les marais des bords des rivières étaient encore inoccupés pendant longtemps, ce qui constituait, conjointement avec les obligations de réserve militaire, un autre obstacle pour l’expansion de la ville.
“El espacio del mar no está ya regido por la geometría sino por la significación”.
Kosme de Barañano
D’un point de vu architectonique et urbanistique, les éléments plus relevants de l’urbanité bayonnaise aux fronts des rivières seront les endroits de diverses géométries avec leurs ponts de passage et d’articulation urbaine, traversant les courants fluviaux, les ports abondants des bords du fleuve2, spécialisés en différentes activités (qui ont multiplié la capacité commerciale et la culture maritime des pêcheurs sur laquelle s’est assise l’activité bourgeoise initiale), les portes d’entrée, les rues du moyen âge pleines d’artisans et de commerçants, les tours défensives, les châteaux (le Vieux et le Neuf) et la fortification. Une forme architectonique émergente, comme dit Iñaki Galarraga, de sorte que la présence des deux châteaux marquait le paysage bayonnais:
“El Château Vieux de Bayona es la representación y el símbolo de la primitiva ciudad por ser el recinto más cualificado de su sistema defensivo. Sus redondas torres esquineras conformarían, junto con los torreones que franqueaban la antigua muralla, la imagen de la ciudad fortificada. [...] El Château Neuf es la representación y el símbolo de la expansión de la ciudad que alcanza el otro lado del Nive. Frente a la Vieja Bayona [le Grand Bayonne] con su Castillo Viejo, se sitúa el Bourneuf, el burgo nuevo, la Pequeña Bayona [le Petit Bayonne] con su Castillo nuevo. [...] Las edades de la ciudad de Bayona se hacen patentes en la superposición de sus cinturones de fortificación. La antigua muralla ceñida a la catedral muestra su trazado en el frente de las casas, entre las que se ven los torreones que la flanqueaban. Las sucesivas fortificaciones han ido formando una sucesión de glacis de murallas y fosos que hoy día se han convertido en un cinturón de deliciosos espacios verdes que rodea a la ciudad. [...] El sistema de fortificaciones se ofrece hoy como un parque laberíntico, con muros y rampas que propician la alternancia de ambientes soleados y umbríos adecuados incluso para un jardín botánico. Se ofrecen rincones silenciosos y apartados, y hasta inquietantes soledades”.3
Le Château neuf (Bourg Neuf) et le Château vieux, monument historique du Vieux Bourg (état actuel, 2010-2011).
Photo: Isusko Vivas Ziarrusta
Nous avons choisi cet extrait du texte parce qu’il explique formidablement bien la relation urbaine des éléments qui conforment l’image monumentale de Bayonne, toujours associés à l’architecture militaire, qui est devenue de nos jours une partie fondamentale de la structure physique et esthétique - iconographique de la ville et son histoire duale, contradictoire, de contention et d’approximation aux fronts d’eau. L’enceinte de Bayonne a toujours attiré le regard par sa monumentalité bien conservée et la construction de l’emplacement ou ‘site’. Le polygone irrégulier gallo-romain était ainsi situé dans la confluence de la Nive avec l’Adour.4
L’enceinte la plus ancienne correspond à la cité épiscopale, alors qu’une autre enceinte autour du noyau d’origine a grossi la ville jusqu’aux terres basses des lits fluviaux, logiquement plus vulnérables aux inondations périodiques. La ‘Grand Bayonne’ configurée de cette manière a eu un élargissement à l’autre côté de la Nive, le Nouveau Bourg ou le ‘Petit Bayonne’ sans de grands corsés défensifs hautement significatifs. Le ‘Petit Bayonne’5 correspond à l’ancien ‘Bourg Neuf’ (créé aussi au XIIe siècle), avec des rues perpendiculaires à la Nive qui remplacent les canaux, qui a culminé après la construction du Château Neuf. L’Adour et la Nive sont les frontières naturelles du quartier et les ponts sont ici pour affranchir des limites (Chipitey).
Les installations militaires, bien que moins considérables que de l’autre côté de la Nive, ont également bloqué toute possibilité d’expansion de la ville. Dessinées vers la première partie du XVIIe siècle, quelques vues et cartes de Bayonne montrent une urbanisation vivement concentrée au bord de la Nive, avec la trace urbaine gothique et les façades des maisons densifiées sur les fronts d’eau, sauf les quatre points des muraille, aussi bien dans la Grand Bayonne qu’au Petit Bayonne. Un espace libre près du Réduit (dans le Petit Bayonne) constituait l’unique lieu public libéré d’édification tandis que les bords de l’Adour étaient encore certainement vides. Au Bourg Neuf existaient aussi quelques chantiers de construction et d’entretien navale qui seraient une des principales activités de la rivière et font de richesse pour les bayonnais (ils disparurent discrètement au cours des siècles). Une porte fortifiée commandant le pont sur l’Adour suivait une trace à peu près parallèle à la Nive. «Elle revenait alors vers la Nive parallèlement à la rue Panecau et se terminait sur la Nive par la tour des Menous située en face de la tour de Sault».6
Le paysage urbain fluvial configuré avec la porte aujourd’hui disparue et l’espace du Réduit au début du XXe siècle. Dessin de l’auteur à partir d’une image historique.
Les travaux de fortification durèrent quelques siècles; période où nous pouvons remarquer le bastion de défense à l’entrée du XVIIe siècle7 (l’ingénieur Errard de Bard Le Duc) et la citadelle du quartier de Saint-esprit à l’autre côté de l’Adour vers 1677 (le commissaire général de fortifications, maréchal Vauban), où se divisaient les deux rivières et tous les ponts; tous les bateaux, presque toutes les fortifications, les murs inclinés du Réduit et tout l’intérieur de la ville. L’élément le plus connu du système défensif de la ville ‘entre rivières’ était devenu une pièce urbaine vraiment importante pour le paysage des fronts d’eau, grâce à la démolition de quelques bâtiments anciens afin d’assurer la libération de la place militaire. Après tout, ces difficultés ne furent pas de graves empêchements pour l’expression d’un urbanisme civil des fronts d’eau, limitant la rivière: les célèbres Allées Boufflers, allées Marines et allées Paulmy. C’est la partie la plus récente de la ville historique au bord des rivières, avec les boulevards ouverts autour du ‘Grand Bayonne’ et les voies de communication et circonvallation (ligne de ceinture): Lachepaillet et Tour - de - Sault ou la place du Réduit au bord des rivières, dans la confluence de la Nive et l’Adour, ouverte après la démolition de la Porte de France8 en 1907; face au pont de Saint-esprit.
Un exemple de l’importance que des ponts ont acquis dans la signification géographique - urbaine bayonnaise est le pont Mayou encadré dans la pièce qu’intègre l’édifice du théâtre et l’hôtel - de - ville (temple civile mais sacré, couronné par les monuments de la divinité grecque - romaine), confluant la perspective de la façade avec la Nive et l’Adour, les murs du Réduit (l’élément urbain le plus symbolique; espace urbain récupéré, autrefois militaire et aujourd’hui civil de la ville) et les glacis de la citadelle au fond du paysage fluvial de grande valeur urbanistique, architectonique et esthétique.
Les talus du Réduit, la Mairie, les ponts sur la Nive et l’embouchure avec des maisons sur les fronts d’eau composent une image très emblématique de la ville.
Le quartier de Saint-esprit dès les talus de la Redoute et le bord de la rivière entre le Quai Almiral Sala et le Quai de Lesseps, avec des vieux embarcadères.
Photos: Isusko Vivas Ziarrusta
“Una villa bien emplazada a la que los tiempos han curtido de urbanidad [...], los escorzos de altas torres [...] confieren un inevitable estigma de autoridad [a la] enigmática urbe de profunda entraña vascona [que] representa uno de los hechos urbanos más ricos del rosario de villas que jalonan esta parte del Oceanus o gran Mar”9.
Iñaki Galarraga
Dehors la cité historique les gens se déplaçaient aussi vers les allées Marines où s’est créé un urbanisme spontané hors de toute planification rationnelle dirigé et orienté vers le rive droite de l’Adour. Ces noyaux de population et d’urbanisme sans contrôl ont causé une perte du caractère de belles promenades aux allées que la municipalité avait conservées dès les siècles précédents. La population avait établie de nouveaux quartiers familièrement nommés ‘la ville en bois’ (la construction en pierre n’étant pas possible à cause des servitudes militaires et du ‘rayon kilométrique’) dans le faubourg sur les allées Marines. La nécessité de décongestionner la ville ou la mise en service de la gare maritime conduisirent finalement à sacrifier les allées historiques; ‘bijou urbain’ trouvé à Bayonne. En plus, le déclassement des remparts obtenu par la municipalité à la fin du XIXe siècle et dans les premières années du siècle suivant a pu ouvrir l’urbanisme bayonnais à l’avenir.
En ce contexte un espace urbain de grande qualité c’est la Redoute ou le Réduit (‘sorte de château placé en îlot entre deux ponts’ selon l’article publié par Le Figaro en 1909), cité déjà par l’écrivain basque Pio Baroja dans la Guide du Pays Basque. Nous remarquons l’importance de la Redoute (réduit des fortifications bastionnées de l’époque moderne) surtout pour l’espace de confluence qu’il occupe au moment où les deux rivières sont unies et pour la signification historique de bastion défensif. En accord avec l’idée de I. Galarraga, la Redoute est une pièce urbaine clé pour les articulations des diverses zones qui la conforment, “y es el ‘rincón’ más olvidado de la iconografía bayonesa, debido, sin duda, al valor preponderante, que históricamente, ha tomado la ‘puerta de la Villa’, en su caracterización del sitio...”10.
Le Réduit constitue un espace vide mais un point de suture urbaine où il est possible de rencontrer les caractéristiques les plus singulières de l’espace fluvial, à partir des ruines militaires d’autrefois, conservées et restaurées par la ville.
Photo: Isusko Vivas Ziarrusta
<<...Sitio pintorescos de Bayona era el reducto, que estaba en la confluencia de los dos ríos del pueblo formando un espolón. Hoy se ha convertido en una explanada de aire vulgar con una estatua de bronce de un obispo en el centro>>. Dans cette expression de P. Baroja la Redoute a aussi une signification de synthèse, d’articulation et de ‘centre urbain’, parmi plusieurs ‘bayonnes’ qui a composé l’histoire jusqu’à faire une grande ville (Galarraga). Mais cette esplanade à la sortie du pont Saint-esprit près de l’ancienne Porte de France n’a pas toujours été aussi valorisée qu’aujourd’hui. Reconstruite par des ingénieurs du Génie vers 1760, elle n’était «non pas une place monumentale bordée de belles mais un espace encombré de barraques en bois occupés par des marchands ou des artisans, louées par l’état-major».11
Si “una villa como Bayona, tan caracterizada por la conjunción de dos ríos, presenta forzosamente como uno de sus valores estratégicos de la urbanidad, aquel ‘lugar’ o tálamo en el que se realiza dicha conjunción, es decir el Reducto”12, et si nous parlons également des éléments sculpturaux ou monumentaux comme l’extrait de Baroja, nous devrions reconnaître et souligner des espaces publics comme les Jardins Charles Degaulle (derrière l’hôte - de - ville) ou la croix de Mouguerre, par exemple; un espace au-delà de la zone la plus urbanisée mais contenant la mémoire et les signes de l’urbanité, consacrée à la mémoire historique et au souvenir des morts à cause d’une action héroïque de défense de la ville.
À part les célèbres monuments très significatifs comme le grand mural sur le plan incliné des remparts en mémoire des morts au début des allées Paulmy, la sculpture des fronts fluviaux a quelques points d’importance dans les parcs et des jardins des allées Marines au bord de l’Adour et sa confluence avec la Nive dans la zone du Réduit. C’est une pièce urbaine clé dans la configuration historique et moderne de la ville étant à la fois reste militaire, espace de protection littorale, emplacement de suture urbanistique entre les ‘trois Bayonnes’: ‘le Grand’ (la cité du haut), ‘le Petit’ (le Bourg Neuf) et le faubourg Saint-esprit, en même temps qu’élément emblématique d’architecture fluviale. Dans la place presque vide entourée de murs avec la caserne centrale ont été mis en relief deux arbres et la statue sur basse prismatique du cardinal Charles Lavicerie. Ce n’est pas un lieu de transite mais un endroit spécifique de séjour et de pause avec des références symboliques du passé religieux, militaire et civil de la ville.
Le monument sculptural du Cardinal Lavicerie.
Les deux arbres qui encadrent au milieu de la photo la tourelle circulaire du Réduit forment le paysage imaginaire de l’identité de l’ancienne ville militaire et épiscopal.
Photos: Isusko Vivas Ziarrusta
BALASQUE, J. (avec la collaboration de É. Dulaurens). Études historiques sur la ville de Bayonne, Bayonne: 1862-1875 (3 vol.).
BÉRIAC, Françoise. «Bayonne au Moyen Age», in: PONTET, Josette (dir.). Histoire de Bayonne, Toulouse Cedex: Privat, Univers de France, 1991; pp. 27-74.
BLAY DE GAIX, G. F. (de). Histoire militaire de Bayonne, Bayonne: 1899.
DUVARAT, V.; DARANATZ, J. B. Recherches sur ville et la cathédrale de Bayonne, Bayonne, Pau: 1910.
FAUCHERRE, N.; DANGLES, P. «Les fortifications du bourgneuf à Bayonne. État de la question», in: Revue d’histoire de Bayonne, du Pays Basque et du Bas - Adour, nº 146, 1990; pp. 43-82.
GALARRAGA, Iñaki. La vasconia de las ciudades. Bayona, Bilbao, Pamplona, San Sebastián, Vitoria-Gasteiz. Ensayo arquitectónico e iconográfico, Bilbao: Iñaki Galarraga (ed.), 1996. “Una villa portuaria, episcopal, burguesa, fronteriza y militar. Notas de urbanidad y algunas ideas para un análisis de la villa de Bayona”, in: Hiri buruak. Baiona. Bayona (plusieurs auteurs), Bilbao: Sendoa, 1994; pp. 78-123.
GOYHENECHE, Eugène. Bayonne et la région bayonnaise du XIIe au XVe siècle, Salamanca: Université du Pays Basque, 1990.
HOURMAT, Pierre. Histoire de Bayonne, des origines à la Révolution française de 1789, Bayonne: 1987.
LAMBERT, E. «Bayonne: enceintes et châteaux», in: Congrés archéologique de France, Bordeaux-Bayonne, 1939, Paris: 1941; pp. 507-521.
PONTET, Josette (dir.). Histoire de Bayonne, Toulouse Cedex: Privat, Univers de France, 1991.
1 La situation de privilège à la jonction de l’Adour et de l’océan est pour Jean-Luc Tobie à la fois défensive et ‘offensive’, étant donné que le ‘castrum’ romain ne semble pas être prioritairement construit comme fort maritime (même si les remparts s’étaient élevés à cause des incursions des pirates germaniques). L’historien de l’antiquité C. Julian admet qu’il a pu exister, plus anciennement (pendant les trois premiers siècles de notre ère), quelque forme d’habitat côtier lié à la pêche.
2 Sur les rives droite et gauche de la Nive, où les berges étaient remplies de quais, se trouvaient le port du Vergier, le port Neuf, le port de Castets, le port de Suzée, le port de Bertaco, le port de Sault, le port de Pannecau et le port des Menons. Pendant le moyen âge la plupart des canaux restèrent ouverts aux bateaux de petit tonnage, mais peu à peu ils furent comblés par des alluvions de la rivière et transformés en rues.
3 GALARRAGA, Iñaki. “Una villa portuaria, episcopal, burguesa, fronteriza y militar. Notas de urbanidad y algunas ideas para un análisis de la villa de Bayona”, in: Hiri buruak. Baiona. Bayona (plusieurs auteurs), Bilbao: Sendoa, 1994; pp. 110-112.
4 Des tours qui à l’époque entouraient la ville n’existent aujourd’hui que des fragments préservés, sachant qu’ils étaient de trois types: tours circulaires demi - hors - œuvre, tours en fer à cheval et tours demi-circulaires. Au moyen âge il y existaient aussi trois portes: orientallis, meridiana et occidentalis (J. L. Tobie).
5 Le quartier antérieurement connu comme Saint-André, a été toujours habité par des travailleurs et de petits artisans.
6 GOYHENECHE, Eugène. Bayonne et la région bayonnaise du XIIe au XVe siècle, Salamanca: Université du Pays Basque, 1990; p. 82.
7 C’est ainsi au XVIIe siècle qui commencent à paver les rues principales, servant d’abord des cailloux de rivière.
8 Terminée en 1760 et achevée à l’époque de Vauban, elle a malheureusement disparu entre les siècles XIXe et XXe.
9 GALARRAGA, Iñaki. “Una villa portuaria, episcopal...”, op cit. p. 111.
10 Ibídem.
11 PONTET, Josette. «La clé du royaume du côté de l’Espagne», in: PONTET, Josette (dir.). Histoire de Bayonne, Toulouse Cedex: Privat, Univers de France, 1991; p. 92.
12 GALARRAGA, I. “Una villa portuaria...”, op. cit., p. 109.
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